Pre Antoine Dupont Malade

May 2024 · 5 minute read

Père Antoine Dupont Malade – Le demi de mêlée de l’équipe de France, récemment nommé meilleur joueur du tournoi, nous a accueillis chez lui. Il nous parle de son éducation et de sa vision du rugby. C’est un endroit perdu dans le temps, c’est sûr.

Antoine Dupont, un dimanche de 24 ans, nous accueille dans la maison de son frère aîné Clément, qui a repris l’exploitation porcine d’origine de la famille sur la commune de Castelnau-Magnoac dans les Pyrénées françaises.

Le joueur de trois ans insiste sur le fait que, tout comme au rugby, vous ne pouvez pas réussir sans vos coéquipiers. Maintenant, nous en faisons la promotion à travers un groupe qui s’appelle le Collectif Padouen, dont le nom se traduit par “le pré-communal” en patois.

La maison spacieuse et aérée a été construite avec des bois de merisier, de châtaignier, d’orme et d’acacia. Le joueur revient dès qu’il le peut. Au contraire, juste avant l’église dont le clocher domine la cime des arbres, se trouve le terrain de rugby où l’équipe de France a appris le jeu.

On s’attendait à voir l’explosif Antoine Dupont qui casse les tacles et remporte le titre de joueur du tournoi après que l’équipe de France de 15 joueurs ait brillé dans les Six Nations (quatre victoires en cinq matches). Un jeune homme, cool et recueilli, se repose parmi les siens la nuit avant de continuer vers Marcoussis.

Sa ville natale de Castelnau-Magnoac dans les Pyrénées françaises, où le “surdoué” Antoine Dupont est né et a grandi, a été le premier à encourager le XV de France lors de la Coupe du monde au Japon en raison de la vivacité juvénile de Dupont et de sa capacité à enfreindre les règles.

Le regretté maire de Magnoac, Bernard Verdier, qui a co-dirigé le Magnoac FC (MFC) avec le regretté oncle du joueur, le père Laguillony, a déclaré : « On se souviens de tous de ce blondinet à la bouille ronde avec son ballon.

Jo Do Carmo, gérant du pub qui a remplacé le célèbre hôtel-restaurant tenu par le grand-père de la star du rugby, Pierre Dupont, se souvient qu’il avait l’habitude de voir le jeune Dupont jouer à proximité avec son frère aîné Clément.

Une photo géante d’Antoine au sommet d’une banderole annonçant la finale du Top 14 (Toulouse-Clermont) est accrochée dans l’entrée, en face d’une affiche tout aussi grande indiquant “Bravo Antoine”, et derrière une vitre se trouvent des tentures d’adversaires européens du Stade toulousain, le club de le fils prodigue du pays.

Le souvenir de “l’arrangeait les règles” et de la “concurrence constante” de son frère Clément avec lui est ramené avec un riant. En souvenir des « duels », « trois contre deux » et « trois contre trois » qu’Antoine aimait tant et attribue à sa réussite. L’outsider s’est toujours retrouvé sur le côté perdant du match parce qu’il “jouait contre des plus grands” ou qu’il était constamment surpassé.

Sa mère, Marie-Pierre Dupont, lui a dit de prendre la suite de son frère aîné, de trois ans son aîné. “Il l’emmenait tous les mercredis au stade et plaisantait avec les professeurs”, a-t-elle déclaré. Les lutins disent alors : « Après, il a rejoint l’équipe.

Le frère cadet d’Antoine Dupont, Clément, est né le 13 septembre 2019 à Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées), France, de parents Marie-Pierre et Clément. Photos par Laurent DARD/AFP/Archives.

Père Antoine Dupont Malade

A ce jour, Mme. Dupont se souvient de la “passion de toute la famille pour le rugby” de ses enfants qui “allaient tous les jours au stade à vélo, à une centaine de. Les lapins utilisent également le bus pour s’entraîner à Lannemezan (à environ 25 kilomètres).

Désormais, Antoine Dupont avait gagné le respect de ses coéquipiers. Kevin Guerrero, 24 ans, ami d’enfance, voisin et coéquipier, se souvient : “Il était +gazif+ (rapide) avec un temps d’avance dans la vision du jeu.”

Malgré l’attitude “patronne” d’Antoine au début, l’entraîneur du MFC Laurent Laruez affirme : “Il avait déjà une belle technique de passe.” Laruez ajoute : “Chez les petits, il n’y a pas de positions prédéterminées.” Des talents naturels tels que la vitesse, les appuis bas rendus possibles par sa carrure, et le sens tactique ont été aiguisés et affinés par lui » raconte-moi, Clément. Le premier entraîneur d’Antoine, Jean-Philippe Guerrero, le résume comme « un surdoué, précoce avec une certaine fluidité.”

Il voulait vraiment jouer à Toulouse. Vers l’âge de cinq ou six ans, il a supplié son oncle pour les maillots de football toulousains de Frédéric Michalak et Clément Poitrenaud, l’un de ses entraîneurs actuels.

Cependant, en 2011, Mme. Dupont a privilégié le centre de formation d’Auch (42 km) au Stade toulousain (97 km). « Un bon milieu s’est mis en place. Le frère était présent. Ça ressemblait plus à une réunion de famille » qu’à Toulouse, ça n’a pas de sens ? Julien Sarraute, alors propriétaire d’Auch et aujourd’hui entraîneur-chef de Colomiers (Pro D2), se souvient du “gamin discret qui “n’a jamais manqué un entraînement en quatre ans.””.

Même s’il était le plus jeune et le plus petit joueur à son arrivée, il « s’est construit un corps, s’est transformé en athlète tout en restant un joueur instinctif et pudique », comme le dit Julien Sarraute.

De plus, Dupont a eu la chance de mûrir parmi un groupe impressionnant de joueurs, comme Anthony Jelonch (Castres), Gauthier Doubrère (Biarritz) et Pierre Dupouy (Bourg-en-Bresse). Une défaite en finale des Crabos (junior) 2014 contre le Racing a laissé l’équipe bredouille (20-18).

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