Général Georgelin Épouse – La mort du général Georgelin est une perte importante pour le pays, pour l’État et pour Notre-Dame de Paris, où il a travaillé dur pendant quatre ans pour redonner à la cathédrale sa splendeur, pierre après pierre. Concrètement, aider la France à récupérer l’héritage de ses pères fondateurs.
Sa disparition en montagne a marqué durablement ceux qui l’ont connu. Il accepte le poste de Grand Chancelier, le plus haut titre honorifique de la Légion d’honneur. Homme de devoir, il était universellement admiré pour son engagement inébranlable à faire ce qui était juste, quels que soient les obstacles ou les enjeux.
Des générations d’officiers, notamment les Saint-Cyriens qu’il promut aux grades supérieurs (les « cadets de la France libre »), se souviennent encore de sa vigueur, de son caractère et de sa voix tonitruante, qui résonnait d’un profond sens du pays qu’il savait transmettre sur eux. Sa présence se faisait sentir. Mais derrière ce pouvoir intimidant se cachait une culture d’une finesse et d’une sensibilité incroyables.
Lors de la pose des voûtes du transept de Notre-Dame, l’hiver dernier, il fut tellement ému que même sa maîtrise de lui-même ne put retenir les larmes de ses yeux. Cette mission de reconstruction lui avait été confiée au lendemain de l’incendie d’avril 2019, et il l’avait saisie avec son zèle habituel, imperturbable devant l’ampleur de la tâche qui l’attendait (42 000 mètres carrés de voûtes et de murs à restaurer ; 1 200 chênes prévu pour le nouveau cadre ; délais stricts).
Il a mis tout son cœur et toute son âme à redonner au bâtiment sa splendeur d’antan. Pour ses convictions humaines et son amour de la France, l’importance de restaurer la flèche emblématique de Notre-Dame a été multipliée par trois. “Ignorer l’avenir dont on hérite toujours sera puni à temps si vous choisissez de vivre à la surface”.
Il aimait réitérer cette formule de Sertillanges et la reconstitution qui en résulta fut vraiment unique : exemplaire tant par le ton que par l’objet, empreinte d’un sentiment de fierté et de joie qu’il sut transmettre à ses concitoyens français : grâce au Grâce aux efforts de nombreuses personnes, le parvis sert aujourd’hui de fantastique galerie de sculptures, où le patrimoine vivant des artisans au travail se mêle à celui de la pierre.
Le Président et la Première Dame de la République française expriment leurs plus sincères condoléances à ses proches et aux nombreuses personnes qui œuvreront à la reconstruction de Notre-Dame et qu’il a su fédérer et galvaniser. Bien qu’il soit l’artisan hors pair de la restauration de Notre-Dame, le général Georgelin ne vivra jamais assez longtemps pour assister à la réouverture de la cathédrale au public français.
Cependant, dans les temps modernes, le « grand serviteur » et le « cerveau de la Renaissance de Notre-Dame », tels que décrits par la ministre de la Culture et porte-parole de l’État Rima Abdul Malak, sont plus communément évoqués. Parce qu’il est « passionné, énergique et têtu » et qu’il a passé toute sa vie au service de la France, témoigne-t-elle, nous lui devons beaucoup. Pour sa “force de caractère inébranlable” et son “engagement total au service de la France poursuivi en dehors du militaire”, le haut responsable des Forces armées a exprimé “son admiration”.
Le discours du général
L’évêque de Metz, Laurent Ulrich, a fait la déclaration suivante à la presse : “Aujourd’hui, la France et l’Église ont perdu l’un de leurs plus dévoués serviteurs, et nous souffrons tous énormément”. À Paris, j’ai eu le privilège d’assister le général Georgelin dans ses efforts de quatre ans pour restaurer Notre-Dame, entreprise qu’il a poursuivie avec courage, persévérance et talent.
Son emploi comptait beaucoup pour lui puisqu’il le considérait comme un appel à servir son pays et l’Église. Au cours de plusieurs mois, j’ai constaté que son anxiété ne s’est jamais calmée. Je suis tout à fait conscient du profond respect et de l’amour que notre cathédrale suscite de la part des Parisiens, des Français et du reste du monde.
L’ancien commandant des armées françaises, le général Jean-Louis Georgelin, 74 ans, est décédé vendredi soir lors d’une randonnée dans les Pyrénées. Il avait été nommé par le président élu Emmanuel Macron pour superviser la reconstruction de Notre-Dame. De plus, le représentant a mentionné que la voie non intentionnelle était privilégiée.
Selon le procureur, Général grimpait seul lorsque le gardien du refuge des Estagnous (2246 m) dans la vallée en contrebas du Mont-Valier a signalé qu’aucun coureur n’était revenu. “Notre-Dame a perdu le chef-d’œuvre de sa renaissance”, a tweeté le président de la République sur le défunt réseau Twitter X.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, a souligné sur la même chaîne qu'”il a réussi à créer les conditions humaines et organisationnelles nécessaires pour mener à bien la reconstruction de Notre-Dame”. “La France perd un grand serviteur de l’Etat”, a déclaré Valérie Pécresse, cheffe de la région Île-de-France. Le général était sûr que la flèche serait visible depuis Paris. avant la fin de l’année.
Ensemble, nous pouvons dire “Tais-toi”
Il a été choisi pour diriger l’équipe chargée de restaurer la structure emblématique après le tragique incendie d’avril de cette année. Il réussit néanmoins à intimider ses ouvriers. En novembre 2019, Philippe Villeneuve, l’architecte en chef des monuments historiques, avait déjà formulé une demande similaire, indiquant son soutien à une reconstruction conforme de la flèche.
La promotion au grade de général a eu lieu en 2003 pour le général Jean-Louis Georgelin. Alors qu’il était au Cema de 2006 à 2010, il a supervisé les opérations militaires françaises en Côte d’Ivoire, en Afghanistan, dans les Balkans et au Liban. Dans les pages de « Sud Ouest » en 2019, il évoque son service militaire et le fait qu’il est commandant. Il est de la responsabilité du commandant d’inculquer à ses troupes la discipline, l’émulation et les compétences nécessaires pour mener une armée au combat sans hésitation.
Un sens aigu de la discipline est essentiel au succès de toute force militaire. Il était à la retraite depuis environ deux ans et demi avant d’être nommé pour superviser les réparations extraordinairement difficiles de Notre-Dame après le tragique incendie d’avril de cette année. Il réussit néanmoins à intimider ses ouvriers. Philippe Villeneuve, l’architecte en chef des bâtiments historiques, avait déjà exprimé son soutien à une copie conforme de la flèche en novembre 2019.
Dès que le général parlait de « respect et d’estime réciproques », tout désaccord était immédiatement résolu. Il assume le rôle de chef d’une « équipe opérationnelle » pour Notre-Dame et prête son allégeance éternelle à l’État, comme le ferait tout bon soldat.
La foi en silence
La mission était amusante pour Jean-Louis Georgelin puisqu’il pouvait « déposer » et mettre à profit sa stratégie « avancer sans hésiter ». Sa foi catholique forte et privée aurait également fait de lui un individu érudit, sérieux et hors du monde. La droite politique, l’archidiocèse de Paris et les catholiques dévoués du monde entier ont tous félicité Macron pour avoir nommé un catholique pratiquant pour superviser la reconstruction de Notre-Dame.
Lorsqu’on lui a demandé s’il n’était « pas anormal » de nommer un catholique à une telle mission, le général Georgelin a répondu : « Oui ». Il est de ma responsabilité de maintenir la cathédrale en parfait état pour le culte catholique, mais il n’est pas de mon ressort d’y apporter des modifications. Mais “La France laque, toutes tendances confondues, a pleuré”, s’écrie-t-il en voyant la France s’enflammer.
Ce haut responsable, qui avait par le passé été critique à l’égard du président Pierre de Villiers, affirme désormais être “toujours en contact étroit avec le président” et pouvoir le consulter à tout moment. Me faire confiance serait un signe de sa haute estime pour moi. La restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a été supervisée par le général Jean-Louis Georgelin. Le 18 août 2023, le « maître artisan » de la restauration de la cathédrale Notre-Dame, qui supervisait les efforts de préservation et de restauration, est décédé.
ncG1vNJzZmillZm2or%2FCnqOemqKawG%2BvzqZmoJ2emr%2BiuIygnKiql5q5qrqMnqeoraOafA%3D%3D