Arthur Fils Origine Antillaise – Arthur Fils fait partie des nouveaux joueurs de tennis français prometteurs à percer dans le circuit professionnel. A 18 ans, il est déjà à la pointe du top 100. Après être entré dans l’effectif en 2021, Arthur Fils serait entré en contact avec Roger Federer, son héros d’enfance qui aura au moins le double de son âge lorsqu’il prendra sa retraite en 2022. Le 12 décembre 2004, le Français est né à Bondoufle, dans l’Essonne. Le jeune homme a commencé à jouer au tennis à l’âge de cinq ans dans le club de Saint-Michel-sur-Orge. Ses capacités se sont épanouies et il a participé à des tournois juniors et internationaux.
Le Français, qui a terminé 44e mondial dans sa catégorie, a fait ses preuves en Floride dans l’Orange Bowl. Il rejoint Guy Forget (1982), Gianni Mina (2009) et Hugo Gaston (2017) comme les seuls autres Français à remporter l’épreuve. Tout récemment, l’avocat a obtenu ses meilleurs résultats, atteignant les demi-finales à Montpellier et à Marseille. Il est également tombé à la 104e place du classement mondial ATP.Au moment où ces lignes sont écrites, Arthur Fils progresse à grands pas et est sur le point de percer dans le top 100 mondial. Les classements du tennis changent fréquemment et sont déterminés par les performances.
D’où vient Arthur Fils à l’origine ?
Arthur Fils est né dans l’Essonne en Île-de-France de parents Anne et Jean-Philippe.
Quel âge a le fils d’Arthur, Arthur, exactement ?
En 2021, l’adolescente sportive française a atteint l’âge de la majorité. Par conséquent, il a hâte d’avoir 19 ans en juin 2023.
Quelle est la taille d’Arthur Junior ?
L’Esonian est parfaitement proportionné à 1m85 et 83kg, ce qui le rend aussi athlétique que Nadal ou Federer. Les grandes tailles ne sont pas toujours avantageuses. Qui est l’espoir français de 16 ans Arthur Fils, qui porte les espoirs de tous à Roland-GarrosL’Esonien est considéré comme l’un des meilleurs espoirs de la génération tennis 2004. Une génération exceptionnellement talentueuse. Un début réussi, puisqu’il s’est qualifié dès le premier tour en battant l’ancien numéro 17 mondial Robert Tomic d’Australie (6-7, 7-6, 6-3).
Le quatrième Français à remporter l’Orange Bowl.
Quand Arthur Fils a remporté l’Orange Bowl en Floride en décembre, il n’est devenu que le quatrième Français à le faire. Mais aussi des athlètes comme Dominic Thiem, Andy Roddick et peut-être même Roger Federer. Après le match, il a déclaré à Tennis Actu : “Il y a aussi beaucoup de gars qui ont gagné et qui n’ont pas pu percer.” Ensuite, je suis allé à Brétigny avant de repartir à Saint-Michel Sports Tennis, où j’ai actuellement titulaire d’une licence.Depuis deux ans, je consacre régulièrement du temps au Centre National d’Entraînement (CNE).
Un joueur vraiment complet
Julien Kergonou conclut : “Il se déplace plutôt bien.” Il n’y a rien de particulièrement fort chez lui, mais il n’y a pas non plus de faiblesses. Bien qu’Arthur Fils ne soit pas encore tout à fait prêt pour le circuit professionnel, il possède quelques avantages qui l’aideront tout au long du chemin. il est costaud, capable d’un bon revers et d’un crochet droit solide, et son profil sera idéal s’il continue son travail acharné.
La “Génération Next” française est vraiment remarquable.
Les jeunes Français nés entre 2002 et 2004 sont considérés comme l’incarnation de la « Next Gen » (nouvelle génération) en France. Harold Mayot, Arthur Cazaux, Lilian Marmousez, Timo Legout, Luca Van Assche ou encore Giovanni Mpetshi Perricard (qui s’entraîne au CNE avec Arthur Fils) sont autant de jeunes joueurs français prometteurs. Pour reprendre les mots de Julien Kergonou, “c’est une grosse génération car elle représente beaucoup de champions potentiels, plus que d’habitude”.
un joueur de haut niveau, à égalité ou au-dessus de Jo-Wilfried Tsonga, Gaël Monfils, Richard Gasquet et Gilles Simon ? Les quatre d’entre eux sont connus comme “les mousquetaires”. Un passionné de tennis l’a dit ainsi : “Les Mousquetaires” sont la somme de quatre joueurs qui ont tous déjà occupé des positions dans le top 100 mondial. Nous avons encore du chemin à parcourir, mais il s’agit d’une génération massive.
PREMIER MATCH AU GRAND CHELEM Qualifications, et première victoire d’Arthur Fils. /L’ÉQUIPE/A. COUVERCELLE
Le temps volatil a gêné le premier jour des qualifications de Roland-Garros 2021, mais les Français Arthur Fils et Los Boisson ont quand même réussi le premier tour. La première journée des éliminatoires de Roland Garros 2021, qui a débuté à 10h30 locales, s’est étirée interminablement. En raison de la météo capricieuse (pluie, vent et froid), la moitié des concurrents programmés ont dû passer à la lumière artificielle, et certains n’ont même commencé qu’après minuit.
Le tout jeune Arthur Fils, qui fête ses 17 ans la veille de la finale masculine, a réussi l’exploit du jour en battant l’ancien numéro 17 mondial Bernard Tomic. Le junior français, classé 1 034, a gardé son sang-froid après avoir perdu le premier set et a ensuite battu l’Australien, classé 213, en deux heures et huit minutes par des scores de 6-7 (5), 7-6 (1) et 6-3. Giovanni Mpetshi Perricard (17 ans, 1043e), partenaire d’entraînement de Maximilian Marterer (214e désormais, mais au huitième tour de Roland Garros 2018), s’est battu vaillamment mais a finalement perdu en trois sets (2-6, 6-3, 6-4).
A noter également Manuel Guinard (297e), qui a battu Tomas Machac (144e, République tchèque) en deux sets (6-3, 6-3). Los Boisson, une Lyonnaise de 18 ans extrêmement athlétique qui ne se classe qu’à la 914e place de la WTA mais qui a battu l’Espagnole Eva Guerrero, classée 227e en deux sets (6-0, 4-6, 6-3), a produit le plus belle perf bleue des femmes. Elle sera au deuxième tour des éliminatoires aux côtés de Carole Monnet (381), qui a joué admirablement (6-3, 6-3) face à la Bulgare Isabelle Shinikova (217).
Il y a eu trois éliminations : Salma Djoubri (549e), Tessah Andrianjafitrimo (265e) et Julie Belgraver (832e). Le Service extérieur français vous invite à découvrir régulièrement la vie d’un jeune Français prometteur. Cette année, Arthur Fils, le champion de l’Orange Bowl 2020, partagera des histoires de ses jours de jeu et de sa vie personnelle. Parler de ça!
Le Tennis… Entre 5 et 6 ans, j’ai d’abord essayé ce sport. Mon père était un athlète; il a joué au basket à un très haut niveau quand il était jeune. Il a rejoint un club de tennis sur un coup de tête pour essayer ce sport. Alors, j’ai suivi les traces de mon père et je me suis mis à jouer.
Comme dans “Pourquoi le tennis ?”
Il m’est difficile de cerner exactement ce qu’il en est de ce sport que j’aime tant… Je suis un compétiteur féroce qui tire une fierté de la victoire. Le judo, le football, la natation et l’athlétisme sont tous des sports que j’ai pratiqués. Cependant, je ne peux plus consacrer de temps à mes autres activités et je me concentre désormais uniquement sur le tennis.
Club et routine d’entraînement
J’ai d’abord joué pour le club de Saint-Michel-Sur-Orge en 1991. Ensuite, je suis allé à Brétigny avant de repartir à Saint-Michel Sports Tennis, où je suis actuellement titulaire d’une licence. Je vais au CNE pour des entraînements quotidiens depuis deux ans. Pour la préparation physique, je travaille avec Jérôme Potier et Pierre Mazenq. Je travaille également avec un coach mental. Je m’entraînais soit avec César Bouchelaghem, soit par moi-même. Aujourd’hui, Giovanni Mpetshi-Perricard et moi sommes des habitués du CNE.
Un moment mémorable serait de gagner l’Orange Bowl. Avant le tournoi, je sentais bien le ballon à l’entraînement, mais ce n’était rien de spécial.
Puis au premier tour, j’ai sauvé une balle de match… A mon avis, c’est ce qui a déclenché la chute. Depuis lors, chaque match a été difficile, mais j’ai confiance en mes tirs et j’ai fait peu d’erreurs.
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